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Troisième journée complète à Rotorua. Pour une fois, je ne m'élance pas de bon matin à la poursuite de phénomènes géothermiques. Au lieu de ça, je vais zorber ! Mais késako que le zorbing ? Je vous arrête tout de suite ; ça n'a rien à voir avec un Grec dansant le sirtaki (je parle de Zorbing le Grec si jamais vous n'êtes toujours pas habitués à mon humour).
Si, comme moi, vous avez passé de longues heures à jouer à Super Monkey Ball, vous avez là une représentation fidèle de ce que c'est. Si vous êtes fans des Flaming Lips et que vous connaissez leurs "bubble concerts", non seulement vous avez bon goût, mais en plus vous voyez aussi à quoi ça ressemble. Si vous ne connaissez ni l'un ni l'autre, pour être clair le zorbing consiste à dévaler une colline en étant enfermé dans une bulle géante, tout ça en compagnie de quelques litres d'eau. Oui, c'est une idée complètement idiote... et donc forcément géniale !
En image (avec des watermarks ignobles parce que j'ai pas voulu me faire ab'zorber tout mon argent pour les enlever), ça donne ça...
J'ai réservé cette activité via Stray et le forfait incluait, en plus de deux descentes, un aller-retour depuis mon hôtel (en voiture hein, pas en zorb). Ca tombe bien puisque … Lire la suite
Des sources, encore et toujours, celle-ci étant surmontée par la route où passent les navettes du parc - ça n'est pas pour autant que l'eau navette de couler.
Et des sources, encore et toujours, celle-ci étant aussi surmontée par la route où passent les navettes du parc - ça n'est pas pour autant qu'elle est partie en fumée.
Pour varier un peu, on passe à Marble Terrace (qui est probablement le Hulk ou le Spider-Man de la terrasse).
A propos de super-héros, c'est apparemment eux qui se sont occupés de tracer l'itinéraire du chemin en découpant la roche !
Et voilà une vue un peu plus surélevée de la zone. Zon'ai malheureusement pas pu faire mieux.
Avant ça, dernier coup d'oeil sur Cathedral Rocks et les eaux bouillonnantes à p'rocks'imité.
110 litres d'eau par seconde s'écoulent du Frying Pan Lake, rejoints dans Hot Water Creek par le liquide provenant de plusieurs sources situées le long du cours d'eau. Voilà pour le début de ce cours.
Pour la suite, laissez-moi vous dire que des minéraux se déposent et nous permettent une fois de plus d'avoir plein de jolies teintes - bien sûr hors d'a-teinte des visiteurs.
Un peu plus bas, les eaux ont toujours des teintes de verts. Mais où vont-elles, se mettre au vert ?
Voilà Nga Puia o te Papa, autrement dit les sources chaudes de notre mère la terre. Ouais, papa ne veut ici pas dire le père (pour ça faut l'écrire pāpā), mais est l'abréviation de Papatūānuku, la figure représentant la terre …
Ca pue, ça fait du bruit, ça crache de la boue de partout ; pas de doutes, on touche au boue-tes !
Une explosion par-ci...
...et une explosion par-là. On dirait un combat de coqs, sauf que c'est plutôt un combat de pools !
Au sommet des Chutes de la mariée, découverte des motifs étonnants de ces terrasses, mais chute - il ne faudrait pas les déranger...
Voilà ce que ça donne vu de plus près. Après toutes ces années, les minéraux contenus dans l'eau ont vraiment laissé de jolies t(e)races.
Comme vous pouvez le voir, la chaleur de l'eau est loin de terrasser la végétation ambiante.
Un peu plus haut, les terrasses sont bien plus larges (mais, rappel utile, large-nt ne fait pas le bonheur).
Et me voilà de retour au bord de cette chère Champagne Pool ! Je ne vous ai pas encore donné ses caractéristiques d'ailleurs : formée il y a 900 ans, elle fait environ 65 mètres de diamètre et presque autant de profondeur.
Vu la direction du vent poussant la vapeur dans le mauvais sens, espérer mieux voir la Champagne Pool depuis ici est malheureusement... vin.
Je continue de prendre des photos en espérant réaliser le cliché parfait qui me permettrait de déboucher le champagne, mais je crois que je pousse le bouchon un peu loin.
Allez, forêt-ster raisonnable, ça n'est pas aujourd'hui que je bois-rai le champagne !
Apparemment par temps moins sec les "étangs" sont reliés entre eux par une jolie eau transparente couleur opale. Une fois encore, pas de chance. Si je veux voir des jolies couleurs, j'aurais meilleur temps de me rendre opal-masqué !
C'est parti pour la traversée d'Artist's Palette. Et vous ne pouvez pas dire que ma photo n'est panette.
En regardant dans l'autre direction, on voit que l'eau s'écoule en direction de terrasses. J'y …
Euh, je vois mal parce-que je bois (...) trop ou ces arbres ont vraiment …
Première rencontre, un gros trou - parce qu'il faut de trou pour faire un monde.
Juste après, un peu plus intéressant, la grotte de Te Hinau.
Ce qui est surtout intéressant, c'est son eau colorée par des bactéries et ses deux sources fumantes (l'une en plein centre de l'image, l'autre juste devant l'entrée de la grotte, en haut à gauche). Sour ce, passons au principal point d'intérêt des lieux...
La vue sur les terrasses de geysers, dont le Waikite au sommet. Si vous le croisez, pensez à lui demander "ouais, qui t'es ?".
Comme on peut le voir aux marques jaunes sur les rochers au premier plan, un geyser souffre pour être beau.
Jusqu'à présent on ne faisait que le deviner, mais maintenant qu'on a pris de la hauteur c'est plus clair : il y a un joli bassin bleuté en contrebas, à côté de la rivière.
A votre avis, combien y a-t-il de geysers sur cette photo ? Auriez-vous besoin d'un compteur Geyser ?